Cousinade 2026 Famille CHALAVOUX ?
}

décembre 1, 2025

l

Loïc Duchamp

✨ En me plongeant dans un dossier client… je retombe sur mes propres racines CHALAVOUX

https://www.ledauphine.com/culture-loisirs/2022/09/06/retrouvailles-des-descendants-de-mathieu-chalavoux

✨ Il y a des enquêtes généalogiques qui vous ramènent là où tout a commencé…

Il y a des enquêtes généalogiques qui, sans prévenir, nous ramènent inévitablement à notre propre histoire.
📂🔍 En ouvrant un nouveau dossier client, je ne m’attendais pas à retomber, presque malgré moi, au cœur des racines de mon grand-père paternel…
Et pourtant, me voilà de nouveau accroché solidement, presque instinctivement aux branches de la famille CHALAVOUX 🌳.

Par un subtil jeu du destin et de la filiation, c’est mon arrière-grand-mère paternelle, Suzanne ROCHE, qui me relie directement à cette lignée ancienne, robuste et profondément enracinée dans les terres ardéchoises.
Et soudain, la recherche professionnelle devient histoire personnelle.
✨🧬

📜 Aux origines du patronyme CHALAVOUX… une piste remontant au XVIᵉ siècle selon François CHOMEL :

CHALAVOUX apparait au milieu du XVIe siècle, dans la région de Quintenas, doit provenir d’un hameau de l’ancienne paroisse de Ceintres, près de Cheminas, appelé en 1464 Chalavoc ou Chalavos, devenu depuis Misery peut être par la famille MISERY qui s’est installée par la suite … Quintenas n’est pas très éloigné géographiquement de Saint-Alban-d’Ay (Ardèche).

Il s’agirait d’un nom de lieu décrivant un versant nu, un mamelon rocheux, une “colline chauve”

Et oui : je suis moi-même un descendant direct de Mathieu CHALAVOUX fils de feu Jean, Laboureur et Magdeleine RIBOLON fille de Pierre et de Jeanne MAZET , mariés le 29 mai 1684 à Saint-Julien-Vocance (Ardèche).
Mathieu était originaire du hameau de Barnezet, à Saint-Alban-d’Ay (07).

🌱 Saint-Alban-d’Ay, berceau discret d’un trésor venu d’Amérique : la truffole

On l’oublie souvent, mais Saint-Alban-d’Ay n’est pas seulement un village de hameaux anciens, de terrasses de châtaigniers et de familles enracinées depuis le XVIᵉ siècle.
C’est aussi l’un des premiers territoires ardéchois où la pomme de terre, la fameuse truffole a été introduite après son arrivée des États-Unis et des Amériques.

À une époque où ce tubercule nouveau suscitait méfiance et curiosité, les paysans de Saint-Alban-d’Ay ont su le reconnaître pour ce qu’il était :
👉 une plante robuste, nourricière, parfaitement adaptée aux sols pierreux et aux hauteurs du pays.

De génération en génération, la truffole est devenue plus qu’un simple aliment :

  • un secours contre la faim,
  • un repère culinaire,
  • puis un produit d’excellence recherché par les plus grandes tables françaises encore aujourd’hui.

🌾 Et c’est dans ces hameaux – Barnezet, Fontfreyde, Dounis que tout a commencé, avec quelques “patates nouvelles” confiées à des mains paysannes qui ignoraient qu’elles façonnaient l’un des joyaux gastronomiques de l’Ardèche.

Aujourd’hui, la “truffole de Saint-Alban-d’Ay” reste une marque de fierté locale :
un héritage agricole, un symbole d’ingéniosité paysanne et un clin d’œil historique aux ancêtres qui, bien avant nous, ont osé planter l’inconnu.


🔍 Mais qui était Jean, le père de Mathieu ?

L’acte de mariage indique simplement :
« Mathieu, fils de feu Jean ».

Alors qui est ce mystérieux Jean CHALAVOUX ?

Un acte nous éclaire : Jean décède le 4 décembre 1675 à Saint-Alban-d’Ay.
Et surtout, dans un contrat de rémission d’héritage devant Me Jean BERTRAND, notaire de Satillieu daté du 29 juin 1661, on apprend qu’il est le fils de Mathieu CHALAVOUX et de Florence BILHON.

Tout s’explique :
→ C’est en mémoire de son propre père que Jean donnera à son fils le prénom Mathieu, perpétuant ainsi la lignée.


🌿 Le patriarche : Mathieu CHALAVOUX († 1669)

Le père de Jean, Mathieu CHALAVOUX, laboureur au hameau de Barnezet, décède le 8 mars 1669.
Son convoi funéraire signale la présence de ses fils Jean et Antoine, témoignant de la solidité du noyau familial.


📜 Le plus ancien document retrouvé

À ce jour, l’acte le plus ancien concernant la famille remonte au 8 décembre 1626 :
une quittance générale passée devant Me Pierre MARON, notaire de Satillieu.

Ce document marque la première apparition connue du patriarche Mathieu CHALAVOUX, déjà installé dans son territoire : la micro-société rurale de Barnezet, entre Saint-Alban-d’Ay et Satillieu.

En fait non, le plus ancien contrat a été repéré sur la SAGA, il s’agit du seigneur Just Louis DE TOURNON, qui passe une transaction avec Pierre CHALAVOUX déjà sur Saint-Alban-d’Ay (Ardèche), le 23 mai 1584 devant Me Antoine MARON. Pierre qui est le père de Mathieu et qui aurait épousé d’après certaines sources : Antoinette DEBARNAUD

Vous aimerez aussi…

Continuez le voyage sur les réseaux

Questions fréquemment posées

Est-il possible de remonter une branche quand on ne connaît pas le père biologique d'un enfant naturel ?
Deux cas de figure : la mère a pu laisser des indices à l’hôpital (Hôtel Dieu de Lyon par exemple) le père biologique a pu être présent pour la naissance ou le baptême de l’enfant… Ou malheureusement parfois, le secret fut bien gardé et aucun indice divulgué…
Je suis bloqué dans mes recherches, il y'a des lacunes dans les archives y'a t'il un moyen de remonter malgré tout ?
Les archives paroissiales celles de l’ancien régime effectivement peuvent être lacunaires, en effet il est possible de remonter la piste de ses ancêtres par le biais d’autres archives (actes notariés, travaux d’historien, presse ancienne etc …)
Peut-on retrouver des documents particuliers sur des ancêtres femmes ?
Vous pouvez en effet retrouver dans certaines archives, leur certificat d’études, leur permis de conduire, leur passeport, carte de résistance etc …
Puis je espérer remonter ma lignée d'ancêtres jusqu'à charlemagne ?
La réponse est non de manière certifiée par les actes c’est impossible en revanche par les travaux des historiens concernant les recherches effectuées à travers les siècles passés, il est possible que grâce à ces travaux vous remontiez à Charlemagne mais c’est loin d’être une évidence.
Est-il vrai que nous avons tous des ancêtres nobles ou des branches nobles?
Question très fréquente en généalogie, en réalité bon nombre de personnes ont des ancêtres nobles malheureusement à cause des lacunes dans les archives il est très compliqué d’en retrouver cependant c’est souvent grâce à une ancêtre que l’on retrouve une branche noble appelée aussi sang bleu.
Comment retrouver le passé et l'histoire militaire de mon ancêtre ?

Première chose à faire, rechercher son matricule militaire, ensuite pour approfondir la carrière militaire de votre ancêtre, confiez vos recherches généalogiques à l’étude Duchamp GeneaServices.

Quelle est la différence entre une lignée agnatique et une lignée cognatique ?
Une lignée agnatique cela signifie qu’on s’intéresse à la lignée des hommes d’un individu, c’est-à-dire le père, puis le grand-père, puis l’arrière-grand-père, etc. (dans les ascendants) ou le fils, puis le petit-fils, puis l’arrière-petit-fils, etc. (dans les descendants). La lignée cognatique c’est le contraire c’est uniquement par les femmes.
est il possible de découvrir une affaire criminelle dans sa généalogie ?
La réponse est oui grâce aux articles de la presse ancienne notamment la BNF, Gallica, et bien sûr grâce à la série U des archives, il est possible de retrouver un jugement criminel concernant votre ancêtre qu’il soit victime d’un crime ou coupable.
Inscrivez-vous à la newsletter !

Inscrivez-vous à la newsletter !

Recevez en premier tous les articles de Duchamp Généalogie !

Bienvenue dans la Newsletter !