[Emission 10] : Sur les traces et l’histoire de la famille CHAPOUTIER, plus qu’un patronyme, une véritable marque connue dans le monde entier !
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mars 31, 2021

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Loïc Duchamp

Aujourd’hui, je vous amène progressivement sur les traces de la famille CHAPOUTIER, vous allez comprendre pourquoi « progressivement » partons donc sur les traces et l’histoire de la famille CHAPOUTIER, plus qu’un patronyme, une véritable marque connue dans le monde entier !

Le patronyme CHAPOUTIER est surtout porté dans l’Ardèche et la Drôme, c’est un dérivé du verbe francoprovençal « chapotar » = tailler, découper en petits morceaux. Il peut désigner un menuisier ou tout autre métier lié au travail du bois. À noter que dans l’Isère et la Loire, le chapotier est un billot sur lequel on affûte les piquets, on fend le bois.


Notre aventure sur les traces de la famille CHAPOUTIER commence en 1879, c’est cette année là que Polydor CHAPOUTIER époux de Marie Sophie GINOUZE choisit pour acheter ses premiers vignobles sur la région de Tain L’Hermitage et qu’il commence l’activité viticole.


Son fils Marius Polydor Pierre CHAPOUTIER reprend l’affaire familiale puis dans le milieu du 20ème siècle c’est Max CHAPOUTIER son arrière petit fils qui dirige l’entreprise, avant de prendre sa retraite en 1977, après que son fils Michel CHAPOUTIER ait prit son relais.
Quelques années plus tard, durant les années 1980, le domaine produit une meilleure qualité, sous la direction de Michel CHAPOUTIER, le processus de vinification change et les installations de vinification sont peu à peu améliorées.


Vers la fin des années 1980, la famille CHAPOUTIER a commencé à recevoir une attention internationale considérable en matière de qualité des vins. Aujourd’hui ils produisent également du vin en Australie !


Qu’est ce qui a conduit Polydor CHAPOUTIER, né le 27 Octobre 1837 à Tain L’Hermitage à se lancer dans cette affaire viticole qui fait la renommée mondiale de Tain L’Hermitage et de cette famille aujourd’hui ?


Polydor était le fils de Jean Mathieu CHAPOUTIER et de Catherine DUSSUS mariés le 13 Février 1830 à Tain L’Hermitage.
Sur la page du registre d’état civil, fait insolite Polydor CHAPOUTIER et son épouse Marie Sophie GINOUZE sont sur la même page, ils étaient donc faits pour se rencontrer, sa femme est née quelques jours après lui soit le 6 Novembre 1837 à Tain L’Hermitage, elle exerca la profession de couturière !
Quelle profession exercait donc les parents de Polydor ?


Son père Jean Mathieu était Tonnelier et sa mère Catherine était Ménagère.
Dans quelle famille a grandi Polydor CHAPOUTIER, regardons de plus près le recensement de Tain L’Hermitage en 1856 !
Nous retrouvons Polydor CHAPOUTIER avec ses parents qui vivaient Rue de La Batie, il est recensé avec sa soeur Mathilde.


Lors de son mariage avec Marie Sophie GINOUZE, Polydor CHAPOUTIER exerce lui aussi la profession de Tonnelier.


Jean CHAPOUTIER, plus vieil aïeul connu époux de Espérance PAYA a testé 4 fois, à chaque fois il a désigné un héritier différent. Au début lors de son premier testament en 1685 il désigne comme héritier universel son fils aîné Jean puis en 1694, son deuxième fils Jean, ensuite en 1698, Isabeau sa fille aînée et enfin Marie en 1699.

Jean CHAPOUTIER meurt finalement le 17 Septembre 1704 à Etables et fut inhumé au sein du cimetière de Saint Victor, le lendemain.

INTERVIEW

« Aujourd’hui, nous avons la chance d’avoir une invitée de marque directement concernée par l’histoire familiale des CHAPOUTIER, bienvenue à Mathilde CHAPOUTIER, responsable commerciale des vins CHAPOUTIER et petite fille de Marc CHAPOUTIER. Malheureusement elle n’a pas pu être présente vis à vis de ses obligations professionnelles mais a répondu par écrit à cet interview ! Je paraphraserai donc ses réponses

Bonjour, Mathilde CHAPOUTIER

Pour commencer cette interview que pouvez-vous nous dire sur les origines de la Maison CHAPOUTIER, qui était donc l’homme de votre famille Polydor CHAPOUTIER derrière cette création en 1879 ?

Connaissiez-vous l’histoire de l’origine derrière votre nom de famille qui est devenue une véritable marque aujourd’hui ?

Vos ancêtres vivaient sur Saint-Victor et Etables au XVIIe et XVIIIe siècle, étiez-vous au courant, parmi les métiers de vos ancêtres on retrouve beaucoup de Tonneliers et de laboureurs qui possédaient donc des terres.

Les origines de la famille commencent dans le vivarais et plus précisément entre saint Victor et Etables où nous pouvons remonter jusqu’à environ 1600 dans les registres. Ce que nous savons de nos ancêtres c’est qu’ils étaient tonneliers sur plusieurs générations. Ce sont d’ailleurs des métiers de « Charpentiers Tonneliers » que vient le nom de Chapoutier. Donc nous pouvons imaginer que ce métier s’apprenait de père en fils depuis les créations des noms qui remontent au  XIIe siècle.  ( D’abord appelé charpentier de tonneau, les maîtres tonneliers « tonloiers » ou « barilliers » étaient déjà réunis en corporation au ixe siècle. Au xiiie siècle, ils remirent leurs statuts pour approbation en même temps que 121 autres corps de métiers. En 1444Charles VII de France confirma les statuts des tonneliers ou barilliers (les tonneliers charpentiers ou foudriers ont pour leur part été rattachés à la corporation des charpentiers dès le xe siècle). Il donne par la même occasion aux tonneliers barilliers le privilège de déchargeurs de vin : ils sont les seuls à avoir le droit de débarquer le vin qui arrive par bateau. // Wikipedia)

A l’époque il existait deux types de futs : en chêne et en Châtaigner. On devine alors assez facilement que la spécialité de la famille Ardéchoise était dans la deuxième catégorie.

C’est le père de Polydore (Jean) qui est descendu d’Ardèche pour s’installer à Tain l’Hermitage, rue de la Bâtie pour devenir Maitre Tonnelier au pied de l’Hermitage. Alors que Polydore dès la reprise de la tonnellerie s’oriente sur des activités à la fois de tonnelier, négociants en futs et commence le négoce du vin. Si on fait le contenant pourquoi pas aussi le contenu ?

 Ainsi il monte la société « Passat et Chapoutier » avec un collaborateur de chiffres où le site de production se situe rue de commandant noir (à côté de la salle des fêtes de Tain) et local toujours existant aujourd’hui et sert au vieillissement de nos eaux de vie et d’archives. A cette époque, on arrive dans la période du Phylloxera qui a détruit le vignoble français et fortement réduit la demande en futs. C’est à ce moment là que l’Hermitage et la pleine des crozes commença à devenir une zone «  fruitière ». c’est dans ce contexte que Polydore s’installe en sélectionnant ses qualités au fur et à mesure de la replantation du vignoble local. A la mort de Polydore, Marius perd tout car Passat récupéra les parts en priorité, mais l’Amoureux de l’Hermitage n’avait pas dit son dernier mot !

En parallèle, la cave Calvet et compagnie (aujourd’hui négoce de Bordeaux mais à l’origine négoce de Beaune) nait à Tain l’Hermitage et monte ses activités de négoces de vins du Rhone.

En sachant qu’à l’époque les Syrahs de l’Hermitage partaient jusqu’à Bordeaux pour être mélangées dans les vins Bordelais pour leur apporter « de la structure et de la garde » . Ainsi les vins de l’Hermitage servants uniquement à « améliorer les vins de Bordeaux » les activités de Négoces étaient le métier premier en vallée de Rhône.

Aujourd’hui la Maison Calvet est une des plus anciennes maisons de négoce de Bordeaux.

Le fils de Polydor (Marius) continue ses activités de négoce de vin et finalement le tournant de notre histoire prend départ sur une histoire d’amour. Très vite, Marius rachètera avec sa femme et son beau-père la cave « Calvet » ( la société de négoce originaire de Tain et devenue Bordelaise est ainsi récupérée par des ardéchois locaux dans le but de réellement développer l’art du vin en vallée du Rhône et affirmer notre savoir-faire en vallée du Rhône.

En même temps et avec le rachat de la société Calvet, Marius achète 34He sur l’Hermitage, et devient le plus grand propriétaire terrien de la colline légendaire (et c’est encore vrai aujourd’hui.) Belle revanche de celui qui avait tout perdu à la mort de son père.

Afin de vinifier maintenant son propre vin, et affirmer le fait que l’Hermitage peut être un vin d’Hermitage et pas de Bordeaux, Marius fait alors construire sa cuverie rue de l’Hermitage à Tain en face des locaux Calvets (ci-dessous les deux bâtiments de la même rue).

Le tournant et l‘engagement de ces deux hommes dans ces projets (Marius Chapoutier et Rodolphe Delépine) sont alors motivés par une femme, Jeanne Delépine, avec une forte intelligence en affaire, conseillant la mairie et responsable de la croix rouge à Tain… les deux époux sont alors très impliqués dans le développement de l’Hermitage, implication qui n’a jamais été ébranlée au file des générations (aujourd’hui nous sommes la 8e génération de cette histoire) et continuons le travail de mettre en valeur les terroirs de l’Hermitage et de les représenter dans le monde entier.

Vous portez le même prénom que votre arrière grande tante, sœur de Marius CHAPOUTIER, est-ce un hommage de vos parents à cette tante disparue ?

En réalité depuis Marius, tous les prénoms de la famille commencent par un « M ». en effet, le nom M.Chapoutier, ne veut pas dire Monsieur Chapoutier ou Marius Chapoutier… mais c’est une marque d’engagement de la famille de transmettre son nom et son savoir.

Mon nom Mathilde était en réalité mon deuxième prénom, mon premier était « Monthelie » appellation de Bourgogne, mais la mairie de Tain l’Hermitage n’avait pas vraiment aimé cette originalité ! ainsi je porte le « M » de notre histoire, sous le nom de Mathilde ou Monthelie en honneur de toute la famille et de l’historie de la maison, comme mon père Michel pour mon frère Maxime. Vous pourrez jouer aux jeux des devinettes pour les prochaines générations !

Aujourd’hui, tous les membres de votre famille vivent ils uniquement en France ?

Beaucoup en vallée du Rhône mais aussi en Allemagne (ma grand-mère étant allemande) – encore une autre très belle histoire. Une grande partie de la famille est encore sur Tain l’Hermitage – mon frère et moi même également.

Je crois savoir que votre famille tient une attention toute particulière au prénom Marius qui est d’ailleurs le nom de l’hôtel dont est propriétaire votre famille à Tain L’Hermitage ?

Oui, même si la famille était faite de tonneliers et négociants en vins, c’est Marius qui a eu l’audace de redonner à l’Hermitage toute sa splendeur ! et pourtant un homme simple, qui aimait bien vivre, qui aimait boire, manger, partager de bons moments et qui mettait en action ses convictions. Il a beaucoup fait pour la maison, il a beaucoup fait pour la ville de Tain, il a beaucoup fait pour la Vallée du Rhône et nous aimons rappeler sa philosophie ! nous avons d’ailleurs écris un livre sur lui en reprenant toutes ses lettres et ses échanges, une sorte de biographie post mortem qui raconte l’histoire de Tain. « Les nouvelles de Marius Chapoutier »

Parlez nous de quelques anecdotes historiques concernant votre famille ?

A tain l’Hermitage tout le monde savait que le vin local allait uniquement « renforcer » les mauvais millésimes Bordelais, alors qu’un élan de chauvinisme faisait trainer des affiches « l’Hermitage vaut bien un Lafite » écrites par Bertall qu’on trouvait dans les comptoirs de Tain (à l’époque la Bascule et la Jeune France) et que Marius aimait à distribuer !

Le blason de la maison chapoutier qui est le même depuis des générations vient du blason des tonneliers (on y trouve d’ailleurs les 3 tonneaux dessus)

Lors de son époque de négociant, la maison Chapoutier faisait également commerce de chartreuse et de vins de Bordeaux, du porto, du rhum de Jamaïque, de l’absinthe (dont il nous reste quelques vestiges mais on préfère les boire que les vendre).

La tour carrée que l’on peut voir sur la colline de l’Hermitage, dans la famille depuis des génération, était le lieu où se cachait Marius pour rejoindre Jeanne Delépine, et lui promettant qu’un jour il l’achèterait – la tour de Chante Alouette est depuis dans la famille.

Nous avons une lettre du 2 décembre 1877 disant : « messieurs, je vous prie de me faire parvenir les cent bouteilles de Saint Peray (effervescents à l’époque) je compte sur un délai de paiement accommodant, votre dévoué Richard Wagner » les vins n’ont jamais été payés.

Il y a 10 ans nous avons recommencé à faire du Saint Péray effervescent comme il se faisait avant, et pour le trait d’humour nous avons donc appelé cette cuvée « la Muse de Richard Wagner »

Marius (qui vivait à la villa du signe en face de la mairie de Tain, maison ou vivent actuellement mes grands-parents) offre à Marc Chapoutier son fils, la ciboise (la grande demeure sur la place du Taurobole). Les deux maisons appartenaient toutes deux à la famille Monier de la Sizeranne. La famille Desbost (avec leur fils Jacques)  vivait ici pour entretenir la maison déjà  à l’époque du baron de Sereville. Ils sont restés lors de la vente de la maison à Marius Chapoutier pour que Marc y habite. Jacques Debost lui finira par travailler avec Marc, et aujourd’hui encore il reste la personne qui est depuis le plus longtemps dans la maison et reste encore administrateur de la maison actuelle et proche de la famille actuelle. Il aura ainsi connu les 4 dernières générations et est devenu un généalogiste fantastique et passionné.

Vous êtes responsable commerciale de la Maison CHAPOUTIER, pouvez vous dire quelques mots concernant vos productions phares de vins ?

Aujourd’hui nous continuons à cultiver les plus belles parcelles de l’Hermitage en travaillant toujours plus en précision sur l’identification des parcelles afin de les faire connaitre dans le monde entier.

Nous sommes maintenant propriétaires de 475 Hectares de vignes en Biodynamie dont la majorité sont dans la vallée du Rhône. Nous continuons à évoluer chaque jour dans nos locaux transmis de générations en génération – en utilisant les mêmes bureaux depuis l’époque de Marius. Et continuons le travail commencé par Polydor et Marius avec les mêmes convictions.

Qu’est-ce qui vous a convaincu de reprendre l’affaire familiale, vous étiez passionnée d’œnologie depuis toute petite ?

C’est un métier qui consiste à « produire et donner du plaisir » et qui parle à tout le monde, je suis partie vers d’autres horizons avant de naturellement revenir dans le vin qui reste un des plus beaux métiers du monde avec ceux de la restauration je pense, très attachée à mon terroir et à mon histoire, c’était assez naturel. 

Quels sont les projets de la Maison CHAPOUTIER en 2021 ?

Nous avons fait quelques acquisitions récentes à saint Peray, en Côtes Rôties et en Crozes, (l’Hermitage n’est plus extensible ! ) pour aller chercher des parcelles d’exceptions, nous devrons les travailler encore quelques années avant que celles-ci produisent.

Nous espérons également relancer rapidement notre « lieu de vie » qu’est le Fac&Spera (devise historique de la maison) notre complexe de chambres d’Hotels, apparts hôtel, bar à vin, spa et restaurant Marius, afin de pouvoir continuer à faire découvrir au monde entier les grands vins de la Drôme et de l’Ardèche. Etablissement que nous avons voulu « cosy » et pas « luxueux » car nous voulons que ce soit aussi un lieu de retrouvailles pour les locaux – ce qui a été un grand succès dès son ouverture : un lieu de partage pour tous. Nous avons d’autres projets en tête, mais je ne spoilerai pas !

Avec la crise sanitaire liée au Covid 19 que nous traversons aujourd’hui, avez-vous été impactée, comment avez-vous adapté votre activité commerciale en conséquence ?

70% de notre distribution repose sur le CHR. Mais nous avons aussi la particularité d’avoir notre propre force de vente intégrée et de travailler en multicanaux (ventes aux particuliers, ventes en lignes, nous avons nos propres magasins) et un joli relais de croissance que sont les cavistes. Ainsi malgré un fort vent de panique, nous avons grâce à beaucoup d’agilité de toutes nos équipés réussi à réorienter la totalité de nos ventes Frances vers les particuliers ( et nous sommes fiers de finir à +2% sur la France en 2020) et sur l’export ou nous avons eu la même stratégie, nous terminons à -7% ce qui est pas mal au vu de la situation aux USA également liée aux taxes Trump.

Début 2021 pour nous commence très fort : les réorientations que nous avons faites ont continué de croitre, et à l’étranger les restaurants commencent à rouvrir – à fin Mars nous terminons à +23% par rapport à 2020 et +20% par rapport à 2019 donc après beaucoup d’énergie et de stress je crois que l’on peut dire que nous avons réussi avec brio à nous adapter à la situation, comme la Maison Chapoutier a toujours sur le faire dans son histoire !

Avez-vous un mot de la fin pour nos auditeurs concernant la Maison Chapoutier et votre activité viticole ?

C’est avec une certaine fierté que nous continuons à écrire des pages de l’histoire de cette maison, et il y a encore bien des lignes à écrire. On représente une histoire, on représente un terroir, ce n’est pas une tâche facile, mais c’est en tout cas quelque chose que nous faisons avec beaucoup de passion et d’attachement et nous nous concentrons aujourd’hui à écrire les prochains chapitres qui seront j’en suis certaine tout aussi captivants que ceux du passé ! »

Vous souhaitez en apprendre davantage sur la famille CHAPOUTIER, je vous invite à découvrir l’histoire de cette famille jusqu’à ses origines en participant aux ballades commentées que j’organiserai très prochainement à Tain L’Hermitage.

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Questions fréquemment posées

Est-il possible de remonter une branche quand on ne connaît pas le père biologique d'un enfant naturel ?
Deux cas de figure : la mère a pu laisser des indices à l’hôpital (Hôtel Dieu de Lyon par exemple) le père biologique a pu être présent pour la naissance ou le baptême de l’enfant… Ou malheureusement parfois, le secret fut bien gardé et aucun indice divulgué…
Je suis bloqué dans mes recherches, il y'a des lacunes dans les archives y'a t'il un moyen de remonter malgré tout ?
Les archives paroissiales celles de l’ancien régime effectivement peuvent être lacunaires, en effet il est possible de remonter la piste de ses ancêtres par le biais d’autres archives (actes notariés, travaux d’historien, presse ancienne etc …)
Peut-on retrouver des documents particuliers sur des ancêtres femmes ?
Vous pouvez en effet retrouver dans certaines archives, leur certificat d’études, leur permis de conduire, leur passeport, carte de résistance etc …
Puis je espérer remonter ma lignée d'ancêtres jusqu'à charlemagne ?
La réponse est non de manière certifiée par les actes c’est impossible en revanche par les travaux des historiens concernant les recherches effectuées à travers les siècles passés, il est possible que grâce à ces travaux vous remontiez à Charlemagne mais c’est loin d’être une évidence.
Est-il vrai que nous avons tous des ancêtres nobles ou des branches nobles?
Question très fréquente en généalogie, en réalité bon nombre de personnes ont des ancêtres nobles malheureusement à cause des lacunes dans les archives il est très compliqué d’en retrouver cependant c’est souvent grâce à une ancêtre que l’on retrouve une branche noble appelée aussi sang bleu.
Comment retrouver le passé et l'histoire militaire de mon ancêtre ?

Première chose à faire, rechercher son matricule militaire, ensuite pour approfondir la carrière militaire de votre ancêtre, confiez vos recherches généalogiques à l’étude Duchamp GeneaServices.

Quelle est la différence entre une lignée agnatique et une lignée cognatique ?
Une lignée agnatique cela signifie qu’on s’intéresse à la lignée des hommes d’un individu, c’est-à-dire le père, puis le grand-père, puis l’arrière-grand-père, etc. (dans les ascendants) ou le fils, puis le petit-fils, puis l’arrière-petit-fils, etc. (dans les descendants). La lignée cognatique c’est le contraire c’est uniquement par les femmes.
est il possible de découvrir une affaire criminelle dans sa généalogie ?
La réponse est oui grâce aux articles de la presse ancienne notamment la BNF, Gallica, et bien sûr grâce à la série U des archives, il est possible de retrouver un jugement criminel concernant votre ancêtre qu’il soit victime d’un crime ou coupable.
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